Escrevi o artigo aí abaixo para uma publicação do Quebec, província do Canadá de base cultural/linguística francesa. O foco: as configurações da condição humana. De algum modo, ouvimos a voz de Vergílio Ferreira:
"Sento-me aqui nesta sala vazia e relembro. Uma lua quente de Verão entra pela varanda, ilumina uma jarra de flores, e escuto o indício de um rumor de vida, o sinal obscuro de uma memória de origens. (...) Tento, há tantos anos, vencer a dureza dos dias, das ideias solidificadas, a espessura dos hábitos, que me constrange e tranquiliza. Tento descobrir a face última das coisas."
La condition humanine: le
travail, l’oeuvre et l’action
Ivonaldo Leite
D’accord avec Hannah Arendt[1], le
terme vita activa désigne trois
activités humanines fondamentales : le travail, l’oeuvre et l’action.
Elles sont fondamentales parce que chacune d’elles correspond aux conditions de
base dans lasquelles la vie sur terre est donné à l’homme.
Le travail est l’activité que
correspond au processus biologique du corpus humanin, dont la croissance
spontanée, le métabolisme et éventualment la corruption, son liés aux
productions élémentaires dont le travail nourrit ce processus. Sur l’oeuvre, elle est l’activité qui correspond à la non-naturalité de
l’existence humanine, qui n’est incrustée dans l’espace et dont la moralité n’est
pas compensée par l’éternel retourn cyclique de l’espace. L’ouvre fournit un
monde artificel d’objets, nettement différent de tout millieu naturel. C’est à
interieur de ses frontiers que se loge chacune des vies individuelles. En
troisième lieu, l’action, la
activité qui mette directtement en rapport les hommes, sans l’intermédiaire des
objets ni de la matière, correspond à la condition de la pluralité, au fait que
ce sont des hommens et non pas l’homme, qui vivent sur terre et habitent le
monde. Si touts les aspects de la condition humanine ont de quelque façon
rapport à la politique, cette pluralité est spécifiquement la condition de
toute vie politique.
Alors, ces trois activités et leurs conditions
correspondantes sont intimement liées à la condition la plus genrale de l’existnece
humanine. C’est-à-dire, la vie et la mort, la natalité et la mortalité.
Le travail n’assure pas seulement la survie de l’individu
mais aussi celle de l’espèce. L’ouvre et ses produits conferent une certaine
permanence, une durée à la futilité de la vie mortelle et au caractère fugace
du temps humain. La action, dans la mesure où se consacre à fonder et maintener
des organismes poilitiques, crée la condition de souvenir.
La condition humanine dépasse les condiditions dans lesquelles
la vie est donné à l’homme. Les hommes sont des êtres conditionées parce que
tout ce qu’ils recontrent se change immédiatement en condition de leur
existence. Le monde dans lequel s’écoule la vita
activa consiste en objets produits par des activités hummanines. Mais les
objets, qui doivent leur existence aux hommes exclusivment, conditionnent néanmoins
de façon constante leurs créateurs.
Outre les conditions dans lesquelles la vie est donée à l’homme
sur terre, et en part sur leur base, les hommes créent constamment des conditions
fabriquées qui sont propres et qui, malgré leur origine humanine et leur
variabilité, ont la même force de conditionnement que les objets naturales.
Enfin, tout ce qui touche la vie humaine, tout ce qui se
maintient en relation avec elle, assume immédiatament le caractère de condtion
de la l’existence humanine.
1 ARENDT, Hannah. The human condition. Chicago: University of Chicago Press, 1998.
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