quinta-feira, 7 de julho de 2016

Trois activités humanines fondamentales: le travail, l’oeuvre et l’action

Texto esboçado há algum tempo, reformulado, e agora ao abrigo da publicação francesa Je ne suis pas d'accord. Chega por aqui. Entre Sartre e Hannah Arendt: "o ser humano é seu projeto."




Par Ivonaldo Leite
Université Fédérale de Paraíba/Brésil

Le transfert du point d'Archimède dans l'esprit humain a sans doute permis à l'homme de porter son point d'appui, pour ainsi dire, en soi et à sa guise, il l'a ainsi libéré completement de la realité donnée.
En ce sens, d’accord avec Hannah Arendt,  l'expression vie active desinga trois activités humaines fondamentales : le travail, l’oeuvre et l’action. Elles sont fondamentales parce que chacune d’elles correspond aux conditions de base dans lasquelles la vie sur terre est donné à l’homme.
Le travail est l’activité que correspond au processus biologique du corpus humanin, dont la croissance spontanée, le métabolisme et éventualment la corruption, son liés aux productions élémentaires dont le travail nourrit ce processus. Sur l’oeuvre, elle est l’activité qui correspond à la non-naturalité de l’existence humanine, qui n’est incrustée dans l’espace et dont la moralité n’est pas compensée par l’éternel retourn cyclique de l’espace. L’ouvre fournit un monde artificel d’objets, nettement différent de tout millieu naturel. C’est à interieur de ses frontiers que se loge chacune des vies individuelles. En troisième lieu, l’action, la activité qui mette directtement en rapport les hommes, sans l’intermédiaire des objets ni de la matière, correspond à la condition de la pluralité, au fait que ce sont des hommens et non pas l’homme, qui vivent sur terre et habitent le monde. Si touts les aspects de la condition humanine ont de quelque façon rapport à la politique, cette pluralité est spécifiquement la condition de toute vie politique.
Alors, ces trois activités et leurs conditions correspondantes sont intimement liées à la condition la plus genrale de l’existnece humanine. C’est-à-dire, la vie et la mort, la natalité et la mortalité.
Le travail n’assure pas seulement la survie de l’individu mais aussi celle de l’espèce. L’ouvre et ses produits conferent une certaine permanence, une durée à la futilité de la vie mortelle et au caractère fugace du temps humain. La action, dans la mesure où se consacre à fonder et maintener des organismes poilitiques, crée la condition de souvenir.
La condition humanine dépasse les condiditions dans lesquelles la vie est donné à l’homme. Les hommes sont des êtres conditionées parce que tout ce qu’ils recontrent se change immédiatement en condition de leur existence. Le monde dans lequel s’écoule la vita activa consiste en objets produits par des activités hummanines. Mais les objets, qui doivent leur existence aux hommes exclusivment, conditionnent néanmoins de façon constante leurs créateurs.
Outre les conditions dans lesquelles la vie est donée à l’homme sur terre, et en part sur leur base, les hommes créent constamment des conditions fabriquées qui sont propres et qui, malgré leur origine humanine et leur variabilité, ont la même force de conditionnement que les objets naturales.
Enfin, tout ce qui touche la vie humaine, tout ce qui se maintient en relation avec elle, assume immédiatament le caractère de condtion de la l’existence humanine. Mais toutes les ativités humanines sont conditionetés par le fait que les hommes vivent en societé.



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